Le catalogue des Éditions de l'EFEO, riche d'environ 600 titres, propose des publications portant sur l'Asie, depuis l'Inde jusqu'au Japon, et couvrant un large spectre disciplinaire en sciences humaines et sociales (archéologie, histoire, anthropologie, littératures, philologie, etc.).
Ces publications, si elles s'adressent d'abord à la communauté scientifique, intéressent également un public attiré par les civilisations et sociétés d'Asie.

Manuel d'épigraphie du Cambodge

Vol. 1

Claude JACQUES

Collection : Publications hors série de l'École française d'Extrême-Orient

Numéro de collection: 33

Éditeur: Khin Sok, Jacques (Claude), Yoshiaki Ishizawa

Édition: EFEO

Année de parution: 2007

Statut : Disponible

40,00

ISBN-13 : 978-2-85539-628-6

Largeur : 19,5 cm

Hauteur : 27,5 cm

Poids : 0,65 kg

Nombre de pages : 216

Distributeur : EFEO Diffusion

Géographie : Cambodge

Langue : Français

Lieu : Paris

Support : Papier

Description :

215 p., ill., 28 cm.

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Résumé

Il n'existe pas à ce jour de manuel d'épigraphie cambodgienne : ce projet vise donc à remédier à cette évidente anomalie. Nous avons en effet pensé qu'un tel manuel est indispensable d'abord pour former des étudiants à l'épigraphie, mais aussi pour aider les chercheurs de disciplines voisines à comprendre les inscriptions et à les interpréter correctement, de façon à en tirer le plus de renseignements possible. Nous avons été amené à proposer au passage des hypothèses nouvelles, ouvrant des perspectives à creuser éventuellement par la suite, de façon à les conserver ou à les abandonner. Plus que d'autres, les recherches sur le Cambodge ancien sont en effet encore susceptibles d'évolution, voire de révolution. Cet ouvrage devrait également pouvoir être lu par des amateurs cultivés.

Claude Jacques

À propos de l'éditeur

Jacques (Claude)

Marboz (Ain), 1929

Membre de l'EFEO de 1963 à 1973

Étudiant à Lyon, Claude Jacques suit les cours d’Armand Minard, qui lui propose, au début de 1955, d’être l’un des assistants de Pierre Dupont, auquel le gouvernement birman vient de confier la création d’un institut d’archéologie à Rangoun. Il accepte, mais, quelques mois plus tard, P. Dupont meurt à Bangkok et le projet est abandonné. Armand Minard lui conseille alors d’aller poursuivre ses études orientales à Paris et d’y rencontrer Jean Filliozat. Claude Jacques suit notamment les cours de Louis Dumont, Jean Filliozat, Paul Mus et Louis Renou.

Jean Filliozat l’envoie à l’Institut français de Pondichéry (section d’Indologie), où il reste de 1959 à 1961. Il y rencontre Bernard Philippe Groslier en 1959, qui lui conseille de se diriger vers l’épigraphie du Cambodge, dont le maître, George Cœdès, est déjà fort âgé. C’est ainsi qu’en septembre 1961, il se rend au Cambodge comme chargé de cours à la Faculté des Lettres de Phnom Penh. Il est bientôt membre de l’EFEO. En 1965, il participe à la création de la Faculté d’Archéologie et y est professeur jusqu’en 1970, année où il quitte le Cambodge pour Paris, non sans avoir effectué une mission de 3 mois en Indonésie (mai-aôut 1970) à la demande de Jean Filliozat.

Chargé de conférences à l’École pratique des hautes études (section des sciences historiques et philologiques) depuis 1964, il donne ses conférences à Phnom Penh, puis à Paris ; il est élu Directeur d’études à cette même École en 1973.

Il participe en 1988 à la création de l’Association des Amis d’Angkor, dont il est le secrétaire général de 1988 à 1993. Le Directeur général de l’Unesco, M. Federico Mayor, lui demande alors d’être son conseiller spécial pour Angkor et le Cambodge ; il le reste jusqu’au départ de F. Mayor et devient alors conseiller scientifique auprès du sous-directeur général pour la culture à l’Unesco.

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