Le catalogue des Éditions de l'EFEO, riche d'environ 900 titres, propose des publications portant sur l'Asie, depuis l'Inde jusqu'au Japon, et couvrant un large spectre disciplinaire en sciences humaines et sociales (archéologie, histoire, anthropologie, littératures, philologie, etc.).
Ces publications, si elles s'adressent d'abord à la communauté scientifique, intéressent également un public attiré par les civilisations et sociétés d'Asie.
Ignacio Quirós est docteur en études de l’Extrême-Orient à l’École pratique des hautes études depuis 2016. Il est l’auteur d’une thèse consacrée à l’élucidation du sens de certains termes invariables en japonais archaïque, travail qui a obtenu le Prix de thèse 2017 de la Société française des études japonaises. Actuellement il est chercheur à l’université Kokugakuin de Tōkyō, où il est rattaché au département d’études sur le Kojiki. Ses recherches portent sur la langue et la littérature japonaises archaïques. Il est l’auteur de : « Jōdai ni okeru “shì” to iu kanji to “koto” to iu yamato-go to no aida no imiteki na hedatari o megutte » 上代における「事」 という漢字と「コト」という倭語との間の意味的な隔たりをめぐって [Écarts sémantiques entre le sinogramme « shì » 事 et le mot vernaculaire « koto » dans le contexte du Japon archaïque], Nihon bunka kenkyūjo nenpō 日本文化硏究所年報, no 9, 2016, p. 103-118 ; « “Koto wo agetsurahu” to “koto-age” wa kanren suru no ka ? Nihon shoki no Jūshichijō kenpō o chūshin ni » 「コトをアゲツラフ」と「コトアゲ」は關連する のか ?—『日本書紀』の十七條憲法を中心に [Existe-t-il un rapport morphosyntaxique entre le composé « koto-age » et le syntagme « koto wo agetsurahu » en japonais archaïque ? Étude des cas de figure dans la Constitution en dix-sept articles dans le Nihon shoki], Nihon bunka kenkyūjo nenpō, no 10, 2017, p. 40-57 ; « La voix de la Nature dans le Japon archaïque », Circulaire de la Société franco-japonaise des études orientales, no 41, 2018, p. 5-63.